Underearners Anonymous

Underearners Anonymous (UA) est un programme en douze étapes fondé en 2005 pour des hommes et des femmes qui se sont réunis pour surmonter ce qu’ils appellent le « underearning ». Le sous-apprentissage n’est pas seulement l’incapacité de subvenir à ses besoins monétaires, mais aussi l’incapacité de subvenir à ses besoins, y compris ses besoins futurs, et l’incapacité d’exprimer ses capacités et ses compétences.

Underearners Anonymous

Fondation

Lieu

Zone desservie

Réunions en face à face : Canada, Colombie, Danemark, Iran, Israël, Royaume-Uni, États-Unis. Réunions téléphoniques : dans le monde entier

Site web

underearnersanonymous.org

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La prémisse sous-jacente de Underearners Anonymous est que le sous-apprentissage est une sorte de trouble mental, un peu comme la compulsion autodestructrice de l’alcoolique à boire à l’excès.

En effet, les membres de l’AU se qualifient parfois d' »ivrognes du temps », car ils ont une propension à gaspiller leur temps dans des activités inutiles, plutôt que de poursuivre des objectifs constructifs. Ce parallèle avec l’alcoolisme a conduit la fraternité à s’approprier une grande partie de l’appareil des Alcooliques anonymes (AA), notamment les Douze Étapes, les réunions régulières pour partager leur  » expérience, leur force et leur espoir « , et le parrainage. UA suggère d’étudier la littérature des AA pour mieux comprendre les maladies addictives. Plus précisément, UA approuve l’utilisation des Douze Étapes et des Douze Traditions et des Alcooliques anonymes (également connus sous le nom de « Grand Livre »).

UA utilise des outils supplémentaires, tels que la tenue de dossiers écrits sur la façon dont on passe son temps, la « conscience de possession » (l’élimination de « ce qui ne nous sert plus »), les pages de but qui sont l’écriture de ses objectifs, la mesure des progrès et la récompense des réalisations et l’évitement de la « dette » (emprunt non garanti). Ils préconisent également des « réunions d’action » au cours desquelles les membres se conseillent mutuellement sur des questions liées au revenu, et des « partenariats d’action » dans lesquels les membres s’encouragent mutuellement à accomplir des tâches liées au revenu.

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