Test salivaire pour 5 drogues

Description

Ce test est fait pour le dépistage dans la salive humaine des 5 drogues d’abus actuellement les plus utilisées.

Drogues d’abus dépistées :

  • THC : cannabis, marijuana, haschisch
  • COC : cocaïne et crack
  • OPI : héroïne et opiacés
  • AMP : amphétamines
  • MET/MDMA : méthamphétamine et ecstasy

Chaque substance est détectée indépendamment.

C’est pourquoi le test donne un résultat drogue par drogue.

Ce test est un dosage qualitatif (type « NON / OUI »), et délivre donc un résultat « NÉGATIF » ou « POSITIF ».

La détection du cannabis n’a jamais été aussi efficace !

Ce test salivaire détecte le Δ9-THC, qui est la molécule du cannabis que l’on retrouve spécifiquement dans la bouche. La fumée d’une cigarette de marijuana est pleine de cette molécule. Cette fumée va contaminer la cavité buccale lors du fumage d’un joint, et elle laisse une trace pendant plusieurs heures. A noter : ce test détecte les mêmes traces salivaires de marijuana que celles recherchées dans le dépistage effectué au bord de la route par les forces de police. Il s’agit donc d’une véritable innovation en matière de test salivaire, et non d’un simple test urinaire modifié.

Données techniques

Cut-off : chaque substance est dépistée à un seuil spécifique.

Si l’échantillon de salive concentre des taux de drogue supérieurs aux seuils indiqués, le test sera positif pour cette drogue, sinon le test sera négatif.

Test salivaire NarcoCheck® pour 5/6 drogues

composés seuil de coupure.off (ng/ml)
Δ9-THC (parent) 10
COC (cocaïne) 20
OPI (Héroïne, opiacés) 10
AMP (amphétamines) 25
MET/MDMA (Méthamphétamine, Ecstasy) 50

Temps de détection du THC dans la salive : quel que soit le test utilisé, le THC (principe actif du cannabis) ne peut jamais être détecté plus de 4 à 6 heures dans la salive. Le niveau de détection extrêmement bas du test salivaire NarcoCheck permet d’exploiter pleinement cette fenêtre de temps. Le temps de détection de notre test sera donc de 4 à 6 heures après le dernier joint fumé, quel que soit le niveau de consommation.

Durée de détection des autres drogues : la cocaïne, l’héroïne, les amphétamines et l’ecstasy peuvent être détectées par ce test sur une période de 24 à 48 heures après la dernière consommation. Ce temps peut varier en fonction du métabolisme de chaque personne, ainsi que de la quantité et de la qualité de la drogue consommée.

Mode d’emploi

1- Placer le tampon absorbant dans la bouche et saliver dessus pendant quelques secondes.

2- Le test démarre automatiquement.

3- Lire les résultats après 10 minutes.

Le test se compose de 3 bandelettes, chacune détectant 1 à 2 drogues.
Sur chaque bandelette, une ligne rouge s’affiche (ou non) en position 1 et 2.

Gauche : 1 = COC (cocaïne), 2 = AMP (amphétamines).
Centre : 1 = THC (cannabis).
Droit : 1 = OPI (opiacés, héroïne, etc.), 2 = MET (méthamphétamine et ecstasy).

C = lignes de contrôle ; elles doivent toujours être présentes sinon le test n’est pas valide.

Lorsqu’une ligne rouge apparaît à côté d’une drogue, le test est négatif pour cette drogue.

Si aucune ligne n’apparaît à côté d’une drogue, le test est positif pour cette drogue.

Ce test est NÉGATIF
pour toutes les drogues.

Ce test est POSITIF
pour la cocaïne et le cannabis.

FAQ

Quelle est la différence entre Δ9-THC et THC-COOH ?

LeΔ9-THC (disons « delta 9 THC »), est l’apellation de la molécule de cannabis à l’état brut, c’est-à-dire la substance pure du cannabis telle qu’on la trouve dans l’herbe (marijuana) et la résine de cannabis (haschisch).

Le THC-COOH (également appelé 11-nor-Δ9-THC-COOH) est la molécule de cannabis qui a été transformée par l’organisme (le « métabolite » du cannabis). Le corps humain doit en effet transformer le Δ9-THC pour l’éliminer. Le résultat de cette transformation est le THC-COOH, que l’on retrouve notamment en grande quantité dans les urines.

Pourquoi est-il important d’évaluer les performances d’un test salivaire ?

Parce que la seule molécule présente dans la bouche après avoir fumé un joint est le Δ9-THC, et non le THC-COOH. Mais de nombreux tests salivaires sur le marché sont encore conçus sur la base de tests urinaires modifiés, qui traquent principalement le THC-COOH et non le Δ9-THC. Ces tests sont totalement inefficaces. Seuls les tests qui ciblent la molécule Δ9-THC peuvent parvenir à détecter avec succès la consommation de marijuana, et plus le seuil de coupure est bas, plus le test sera efficace.

Pour détecter efficacement le cannabis, un test salivaire doit donc être calibré pour détecter le Δ9-THC.

Un test salivaire peut-il remplacer un test urinaire ?

Non, car ces deux types de tests ne répondent pas à la même question.

Les tests urinaires permettent un dépistage de fond, qui détecte une consommation de drogue sur une période de plusieurs jours, voire de plusieurs semaines pour le cannabis.
Ils répondent à la question : « cette personne consomme-t-elle des drogues ? »

Les tests salivaires permettent un dépistage sur une période de détection très courte. Ils sont conçus pour dire si une personne a récemment consommé une drogue, mais pas si cette personne consomme des drogues plus ou moins régulièrement.
Ils répondent à la question : « cette personne a-t-elle fumé de la marijuana au cours des 4 à 6 dernières heures, ou consommé toute autre drogue au cours des dernières 24h ? »

C’est pour cette raison que le test salivaire est de plus en plus utilisé par les entreprises qui cherchent à réduire les risques d’accidents causés par la consommation de drogues. En effet, le but n’est pas de savoir si quelqu’un a bu un joint la veille, mais si cette personne a fumé sur le lieu de travail ou pendant une pause, ce qui représente un danger évident pour la sécurité d’un employé, de ses collègues et du public.

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