Allégations de négligenceModifier
Dans un procès intenté le 1er octobre 2020, une famille a affirmé que le personnel d’un Residence Inn à Buckhead, Atlanta, a omis de prendre des nouvelles d’une femme dont la famille ne parvenait pas à la joindre, et a été faussement assuré par le personnel qu’elle allait bien. Après que la famille ait menacé de demander à la police d’effectuer un contrôle de santé, le personnel a prétendu qu’elle était tombée dans sa chambre et qu’elle avait été emmenée d’urgence à l’hôpital. La famille a ensuite été informée par les médecins qu’elle était morte d’une septicémie, résultat d’une blessure infectée sur son postérieur de la taille d’un ballon de basket, qui s’était infectée d’asticots vivants.
« Comment une femme active de 70 ans, par ailleurs en bonne santé, a-t-elle pu se retrouver sur le sol de sa chambre d’hôtel avec des excréments de chien dans la chambre, des asticots attaquant son corps et la chambre dans un état de saleté », a déclaré sa fille. « Nous pensons qu’elle s’est retrouvée sur le sol, qu’elle n’a pas pu appeler à l’aide et que personne n’est venu la voir, même s’ils disent l’avoir fait… Quand on appelait l’hôtel, ils disaient : ‘Elle ne veut pas parler pour l’instant. Elle est fatiguée. Elle se repose. Elle vous appellera plus tard. Elle vous appellera demain’, et cela a duré plusieurs jours », a-t-elle dit.
Selon la poursuite, un gestionnaire de l’hôtel a dit à la fille qu’elle « devrait avoir honte d’avoir incité un jeune membre du personnel à aller dans la chambre de Joanne pour voir un tel spectacle. » Le directeur lui aurait ensuite ordonné de quitter l’établissement. La poursuite allègue également que l’hôtel n’a pas voulu donner à la famille une copie du rapport d’incident de l’ambulance.
Allégations de racismeModifier
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